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5 conseils pour bien rédiger un article de blog

Comment rédiger un article de blog pertinent et bien référencé ?

C’est la question que beaucoup de rédacteurs se posent.

Écrire un article de blog, c’est tout d’abord réussir à répondre à une requête précise de la part de l’utilisateur, mais c’est aussi respecter les règles SEO afin de viser un bon positionnement sur Google. Titre accrocheur, contenu de qualité, balises SEO renseignées… Découvrez les bonnes pratiques pour rédiger un article de blog efficace, qualitatif, résumé en 5 points cruciaux.

Trouver un titre H1 et une accroche qui font mouche

 

Le titre H1 (titre principal) est un des éléments les plus importants de la stratégie SEO dans le cadre de la rédaction d’articles de blog. Article d’actualité, article informatif ou article de presse, le choix du H1 est primordial, car il va influencer le lecteur et le motiver à continuer la lecture de l’article (ou pas !). C’est le premier élément que les internautes voient en arrivant sur une page. Un bon H1 doit donner envie de lire le reste du contenu : c’est pour cette raison qu’on recommande souvent de le mettre sous forme de question afin de formuler la requête posée par le lecteur. Attention cependant à sa longueur, qui peut poser un problème sur version mobile. Pour une bonne optimisation Google, le H1 doit contenir le mot-clé principal de l’article.

Le H1 va de pair avec l’introduction de l’article. Cette dernière doit résumer en quelques lignes la thématique de l’article et les sujets abordés. Si le lecteur n’est pas convaincu par cette accroche, il risque de quitter la page.

En résumé, un bon H1 est un titre accrocheur, court et concis, contenant le mot-clé principal de l’article en question.

 

Création de contenu structuré et exhaustif

 

La structuration du contenu grâce aux titres Hn

 

La structure d’un article de blog est indispensable, en premier lieu pour faciliter la lecture des internautes. Qui souhaite lire un texte rédigé en un seul bloc, sans paragraphes ni sous-titres aiguillant la rédaction ? La structure du texte doit être logique afin de guider la lecture et faire des focus précis sur chaque thématique abordée. En SEO, on appelle ça la structure Hn, dont le premier titre est le H1, comme expliqué dans le paragraphe précédent. Il y a plusieurs choses à savoir sur cette structure :

  • Le H1 est un titre unique.
  • La profondeur des headings peut aller jusqu’au H6, mais en général, on s’arrête aux H3 ou aux H4.
  • Le mot-clé principal peut être utilisé dans certains titres.
  • Les titres doivent correspondre à des requêtes utilisateurs.

La structure des titres sert à hiérarchiser l’information pour Google. Pour l’internaute, cela permet de lire un texte structuré et aéré, ce qui est beaucoup plus agréable, surtout quand on recherche une information précise. Les titres doivent être rédigés dans un objectif : répondre à la requête posée par l’internaute.

Voici un exemple de structure Hn :

H1 : Équivalent au titre

H2 : Sous-titre

P : Paragraphe (texte)

H2 : Sous- titre

H3 : Sous sous-titre

P : Paragraphe (texte)

H3 : Sous sous-titre

P : Paragraphe (texte)

Etc.

 

La rédaction du contenu : répondre à une requête en toute clarté

 

Le contenu en lui-même doit être de qualité, unique et vraiment répondre au sujet. Aujourd’hui, Google est capable de faire la différence entre un contenu de qualité et un contenu vide de sens, ou encore pire, dupliqué depuis un autre site. Il est fortement déconseillé de rédiger du contenu avec le mot clé intégré partout. Cette pratique est même pénalisée par Google. Le but est d’atteindre un score d’optimisation optimal tout en fournissant une lecture agréable. La rédaction d’un article de blog se fait généralement en pyramide inversée : l’information la plus importante doit se trouver au début de l’article, puis on rentre dans le détail au fil des paragraphes.

Pour bien optimiser son texte et écrire les meilleurs articles possibles, il est recommandé d’y intégrer du vocabulaire appartenant au champ sémantique (ou champ lexical) du mot-clé principal : ce qui correspond à une variation de ce dernier, ainsi que des mots-clés secondaires. La rédaction du contenu doit se faire avec un objectif en tête : répondre à la question de base posée par l’utilisateur, cette même question étant à la base de la requête formulée dans le navigateur de recherche. Ne pas répondre à la question posée va créer de la frustration et vous perdrez un lecteur. Afin de bien mettre en forme son contenu, il est aussi recommandé d’utiliser des listes à puces et de mettre les mots importants en gras. Évidemment, les fautes d’orthographe sont à bannir, et les phrases courtes à privilégier.

Pour Google, le contenu doit répondre exhaustivement au mot-clé (requête) en question. Le cas contraire, l’article n’arrivera pas à bien se positionner dans le SERP face à des concurrents dont les articles sont plus complets.

 

Ne pas négliger les balises title et meta-description

 

La balise title, la plus importante pour le SEO

 

Cette balise n’est pas visible sur la page de l’article : elle est affichée sur la page de résultat du moteur de recherche à la suite d’une recherche faite sur Google. Cette balise est contrainte à plusieurs règles :

  • Elle doit faire entre 40 et 65 caractères (si elle est trop longue, elle est coupée).
  • Elle doit contenir le mot-clé principal de la page, comme le titre H1.
  • Elle doit être unique pour chaque article rédigé.
  • Plus elle est précise, mieux c’est pour donner envie à l’internaute de cliquer !

 

La balise meta-description, primordiale pour l’utilisateur

 

La balise meta-description n’a pas d’impact sur les résultats SEO, comme le positionnement par exemple. En revanche, une bonne meta-description peut faire augmenter le taux de clic vers l’article, surtout si elle est bien rédigée et si elle donne envie d’en savoir plus ! Cette balise est, elle aussi, seulement visible sur la page de résultat de Google, appelée la SERP.

 

Créer un maillage interne logique entre ses articles de blog

 

Le maillage interne désigne l’organisation des liens internes permettant de naviguer d’une page à une autre sur un même site. C’est une étape primordiale dans une stratégie SEO, et elle peut être menée à bien lors de la rédaction d’articles de blog. Le but, c’est de mailler des pages importantes en termes de trafic et de volume de recherche, tout en apportant de la valeur ajoutée aux pages sur lesquelles elles sont maillées. Au-delà de perfectionner votre stratégie SEO, cela peut aussi permettre à l’utilisateur de naviguer sur d’autres pages également utiles pour lui.

Le maillage interne doit être fait de manière naturelle, sur une ancre cohérente et adaptée.

 

Insérer des images pertinentes

 

Alterner entre paragraphes et images, c’est très important lors de la rédaction d’un article de blog et ça permet d’attirer l’attention des visiteurs. Les images doivent être sélectionnées avec soin et compléter l’article. Les images peuvent être des photos, des dessins, des infographies, des graphiques… Tout contenu pouvant compléter et illustrer le sujet est le bienvenu dans le cadre de la rédaction d’un article de blog. Des outils gratuits (banques d’images) comme Pexels ou Pixabay permettent de trouver de nombreuses images libres de droit. Si vous écrivez des articles de blog régulièrement, il peut être judicieux de prendre un abonnement Shutterstock.

Conseil : ne pas oublier de renseigner le mot-clé principal de l’article dans la balise alt et pour le nom de l’image.

 

Voilà, vous savez tout pour construire un blog performant ! Si vous souhaitez creuser le sujet, il existe aussi des programmes de formation à la rédaction web. De quoi devenir un rédacteur aguerri !

Quand recruter un Traffic manager / Responsable acquisition / Growth manager ?

Il y a quelques années le rôle du traffic manager était d’être un véritable couteau suisse qui accompagne la marque sur les enjeux SEO, SEA, Social Ads, CRM, Affiliation, Data etc. Aujourd’hui il devient difficile pour une seule personne de maîtriser tous ces domaines et son rôle devient bien plus stratégique. Il est désormais le responsable de l’ensemble de la stratégie digitale et le point de contact des agences.

En tant qu’agence partenaire, les CEOs de nos clients nous interrogent souvent sur le sujet :

I/ Est-ce que j’ai besoin d’un traffic manager ?

Ce poste n’a plus du tout la même dimension qu’il y a quelques années et son champ d’intervention est désormais bien plus complet et stratégique qu’opérationnel.

Si vous vous posez la question, c’est probablement que vous n’avez plus autant de temps que vous le désirez à accorder à l’acquisition de trafic. Votre entreprise est en croissance et la stratégie globale digitale ainsi que sa mise en œuvre opérationnelle demandent plus de temps.
Si vous n’avez plus le temps de tout gérer seul et qu’il y a des tâches à plus forte valeur ajoutée sur lesquelles vous concentrer, c’est le moment de vous faire accompagner sur l’ensemble des leviers d’acquisition que vous contrôliez jusque-là, et d’en ajouter d’autres.

II/ Quel type de profil dois- je recruter ? 

Ne cherchez pas de parcours type, les traffics manager viennent de formations très hétéroclytes : école de commerce, web ou encore autoformation avec les innombrables formations disponibles en ligne.
On préfèrera un profil expérimenté (3 ans +) avec si possible un passage en agence avec une expérience très affirmée sur un canal en particulier (Paid Media, SEO, CRM…).

Voyez cette personne comme votre bras droit, choisissez-le à votre image, ambitieux, avec un grand intérêt pour le projet de votre entreprise. Il doit être capable de réunir les insights de toutes les plateformes et du site afin de prendre des décisions basées sur les données quant à la stratégie marketing à adopter.

III/ Quel est le périmètre du traffic manager ? 

Le traffic manager à un rôle de plus en plus stratégique sur l’ensemble des leviers : display, affiliation, retargeting, social, partenariats, influence etc.

Ses priorités seront le volume du trafic, la qualité du trafic et la conversion. C’est votre bras droit digital qui a pour objectif de développer votre croissance sur la partie e-commerce.
Il a un poste transverse et doit connaître toutes les opérations de l’entreprise et du marché.

Il doit être capable de réunir les insights de toutes les plateformes et du site afin de prendre des décisions basées sur les données quant à la stratégie marketing à adopter.

IV/ Est-ce que j’aurais encore besoin d’une agence ?

Le traffic manager ne remplace pas une agence, il n’est pas expert en tout. Il est la asserelle entre les besoins internes et la réalité externe.

Par contre, il a tout intérêt à challenger l’agence pour en tirer le maximum et lui faire économiser énormément de temps sur la partie opérationnelle du métier pendant qu’il définit avec vous la stratégie globale.

Et aussi énormément d’argent en optimisant mieux la rentabilité des opérations grâce à l’agence.

Le métier est en constante évolution et les best practices des différents canaux aussi. Le périmètre du traffic manager est trop large pour qu’il puisse réussir à s’autoformer et être expert sur l’ensemble des sujets.

Quant il s’agit de publicité, la créativité et les données du marché sont primordiaux pour la croissance, c’est la vision externe que peut apporter une agence.

Cela dépend aussi de l’espace que vous lui laisserez pour prendre la mesure de son poste et aussi de votre ambition pour votre entreprise.

C’est la fin de Universal Analytics, préparez-vous au mieux à la transition vers GA4.

Aujourd’hui, la plupart d’entre vous utilisent Analytics dans le suivi et l’analyse de vos performances.
Pourtant, à partir du 1er Juillet 2023, Universal Analytics c’est terminé pour tous les comptes !

 

On vous explique pourquoi il est important de commencer à migrer vers GA4 dès maintenant.

 

👉 Pour aller plus loin sur le sujet

C’est quoi GA4 ?

GA4 est une version entièrement nouvelle de Google Analytics. Parmi les points importants, citons une mesure inter-appareils (analyse unifiée des applications et du web), une mesure flexible des événements, une plus grande intégration avec Google Ads.

Pourquoi faut-il installer GA4 dès maintenant ?

Universal Analytics cessera de collecter de nouvelles données dès le 1er juillet 2023. Cela signifie que vous avez à peine 15 mois pour vous préparer. Cela ne signifie pas que vous pouvez attendre 15 mois.

En fait, cela signifie que vous devez commencer à vous préparer aujourd’hui. En effet, pour profiter à ce moment-là d’un historique d’une année entière, vous devez mettre en œuvre GA4 dès maintenant.
Une migration avant le premier juillet 2022 permettra également de disposer d’un an d’historique de données au moment venu et pouvoir réaliser des analyses de comparaison jusqu’à Y-1 !

Quels changements ?

Alors que l’ancienne propriété de Google Analytics utilise un modèle de mesure vieux de plus de 15 ans (Urchin) établi sur les sessions et les pages vues, Google analytics 4 (GA4) est établi sur les utilisateurs et les événements.

La métrique session existe encore dans cette dernière version, mais sous la forme d’un événement. Dans cette dernière version, la collecte des données est donc exclusivement réalisée par l’intermédiaire d’événements, et chaque événement dispose d’un ou plusieurs paramètres (informations additionnelles sur l’événement). Ces paramètres peuvent être divisés en paramètres collectés automatiquement et en paramètres personnalisés (plus d’information un peu plus bas). Ainsi, dans Google Analytics 4 (GA4), une page vue est un événement à multiples paramètres (page_location, page_referrer, page_title, etc). Ce n’est plus un hit de type page vue distinct d’un hit de type événement comme dans Google Universal Analytics.

 👉 Pour aller plus loin sur le sujet